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Entre le marteau et l'enclume
19 Octobre, 200919 Octobre, 2009 1 commentaires Réagissez Réagissez

Avertissements : Pardon, je découvre à l'instant cet outil … et ferai sûrement plein de bêtises avec. J'espère avoir la possibilité de corriger toutes mes erreurs de débutant.

 

  

 

 INTRODUCTION : Entre le marteau et l'enclume

 

l'enclume :  c'est moi, un individu incarné dans un corps d'animal, celui que Dame Nature semble avoir su faire de mieux à ce jour.

 

Toutes mes pulsions instinctives (non conscientes) sont régies par mon "cerveau reptilien" ... quasiment identique à ceux des grands reptiles … du temps où ils colonisaient la terre, il y a plusieurs centaines milliers d'années.

 

Le premier but de ce "cerveau reptilien" est de garantir la survie de l'espèce (reproduction).

 

Garantir la survie de l'individu (au moins jusqu'à autonomie de sa progéniture) en est le principal moyen nécessaire … et donc son second but.

 

Le "cerveau reptilien" fonctionne :

- en étant en alerte permanente sur tout ce qu'il peut percevoir dans son environnement,

- en sélectionnant parmi les millions d'informations perçues chaque seconde celles rares qui peuvent constituer soit une opportunité (reproduction, nourriture, abri, ...) soit un danger,

- en déclenchant les réactions automatiques appropriées (prendre, fuir, attaquer, …).

 

Comme ces savoir-faire automatiques des reptiles pour qualifier une situation et y réagir efficacement sont passablement grossiers et sans nuances, Dame Nature a inventé (par mutations et sélections naturelles successives) des sur-couches cérébrales … équipant de nouvelles espèces s'adaptant mieux à leur environnement naturel … et à ses changements :

 

Première sur-couche : le "cerveau limbique"

Son rôle principal est d'affiner le diagnostique des situations ainsi que les réactions vis à vis de l'environnement.

 

Les principales innovations en terme de fonctionnalités apportées par le "cerveau limbique" sont :

- créer et gérer une mémoire durable du vécu (l'expérience … associée à des émotions),

- assurer au mieux des régulations plus ou moins automatiques vis à vis des changements de l'environnement (température du corps, rythme cardiaque, équilibre hormonal, …)

 

Ultime sur-couche : le "cortex cérébral".

Développé chez certains mammifères, notamment chez les primates et surtout dans les espèces "homo" successives, il affine encore l'adéquation des réactions d'un individu aux situations changeantes de l'environnement.

 

Parmi les principales innovations pour nous en terme de fonctionnalités nouvelles : 

- développement d'une véritable conscience, y compris la conscience du temps,

- capacité à inventer abstraitement de nouvelles solutions face aux nouveaux obstacles rencontrés,

- capacité au niveau d'un individu à "capitaliser" de tels savoir-faire, de créer et perfectionner des outils réutilisables.

- capacité d'apprentissage des savoir-faire et outils d'autres individus,

- usage de langages sensoriels et symboliques entre individus, création d'une "culture"par un groupe social (capitalisation des savoir-faire, savoir-se-comporter au niveau collectif autour de références-croyances communes).

 

 le marteauc'est la société à laquelle "j'appartiens".

 

 Sans un tel "collectif humain" auquel appartenaient mes deux géniteurs, mon individu n'existerait probablement pas (ou n'aurait pas vécu aussi longtemps). 

 

En effet, un Humain est un animal qui ne sait survivre et s'épanouir qu'au sein d'un groupe social solidaire et puissant du fait de sa "culture collective" compétitive (sélection naturelle = loi de la jungle).

 

De même que la "survie de l'espèce" passe génétiquement avant la "survie de l'individu", la "survie et l'épanouissement du collectif humain" passent avant ceux de chacun des individus qui en sont membres et théoriquement bénéficiaires.

 

 Double drame : "Je" suis "Entre" le marteau et l'enclume

 

1• "Je" suis un animal … de l'espèce la plus sophistiquée qu'a su produire Dame Nature.

 

Elle m'a doté dans un "corps mortel" … de la conscience d'un "esprit éternel" : 1ère vacherie !

 

Par le mécanisme "mutations + sélections naturelles" … c'est mon "cerveau reptilien" (primaire et non-conscient) qui est le grand patron de tout mon cerveau : biologiquement, il ne délègue des missions (selon ses propres buts simplistes) aux autres "sur-couches" (dont le cortex) que pour améliorer mes réactions d'individu dans l'environnement en perpétuel changement des objets que je perçois … avec ses menaces et ses opportunités (dont celle majeure de reproduction) : 2ème vacherie !

 

2• "Je" appartient à un groupe social organisé … qui, pour garantir sa propre survie, tente de maîtriser l'individu animal que je suis … en agissant sur et via mon cortex (dressage, éducation, doctrines, enseignement, …) … qui reste biologiquement sous les ordres de mon cerveau reptilien :  3ème et énorme vacherie !

 

3• Ces "Organisations" sont co-pilotées par des individus … qui de par leur biologie humaine sont en permanence soumis à la tentation d'utiliser le pouvoir qui leur a été délégué au seul profit de leur propre individu (détournement de finalité) :  4ème et colossale vacherie ! 

 

  Premier bilan : J'existe … mais puis-je être moi-même ?

 

Le « Que suis-je » est coincé entre le marteau et l'enclume dans un drame aux multiples facettes où s'opposent mécaniquement les pulsions de mon corps mortel d'animal, les aspirations de mon esprit qui se sent éternel et les pressions répressives de mon groupe social dont j'ai besoin mais qui, pour m'agréer, me maltraite comme "sa chose" pour mieux me "domestiquer" en "bon sujet".

 

L'Histoire nous apprend qu'aucune civilisation durable n'a pu se construire sans que se crée une solidarité pour affronter un risque majeur, qu'il s'agisse d'un phénomène naturel à apprivoiser (le Nil et ses crues) … et / ou d'une croyance doctrinale purement artificielle avec ses interdits (encore plus efficace car applicable dans tous les environnements naturels, toutes les situations et toutes les tailles de sous-groupes humains).

 

 Libre opinion : TABOU DE LA NUDITÈ 

 

Le succès grandissant depuis 5.000 ans des civilisations patriarcales "judéo-islamo-chrétiennes" … contrebalançait l'attribution du pouvoir dominant aux mâles … par des interdits "de droit divin" (tabous) … tendant à contrecarrer leurs pulsions sexuelles instinctives primaires (cerveau reptilien) les poussant à "semer à tous vents" à la moindre opportunité … au détriment de la paix sociale.

 

Faute de savoir (et pouvoir) faire mieux … le "tabou de la nudité" (instauré et légitimé dès le début de la Génèse, premier chapitre de la Bible) visait à réduire le plus possible les risques de créer involontairement chez ces messieurs des illusions de perceptions unilatérales d'opportunités sauvages de reproduction.

 

Personne ne saura jamais combien de viols ont été évités par cet artifice astucieux et hypocrite.

 

Cependant, en s'en prenant directement à l'instinct le plus fort et irrépressible de l'animal humain, la société s'est attribué un puissant moyen de contrôler les individus membres … à presque tous les autres niveaux. Selon les besoins de l'époque, il lui suffit de faire évoluer le niveau de répression et la gravité des sanctions … en ce bas monde … comme dans l'autre.

 

 Question : Par quoi remplacer ce tabou dans le monde d'aujourd'hui ?

 

Oui, la société a le droit et le devoir de garantir sa survie vis à vis des individus-membres.

 

L'animal humain "homo sapiens" n'a pas changé depuis Cro-Magnon (seulement 2000 générations en 40.000 ans) … mais, de son fait, son environnement a fondamentalement été bouleversé :

 

- l'espèce est passée de quelques milliers d'individus à environ 7 milliards (environ 1/10ème de tous ceux qui sont nés depuis l'origine de l'espèce),

 

- l'humain vient de réaliser que son univers est devenu un vaisseau spatial aux ressources finies et constitue un écosystème complexe et fragile dont il n'est que l'un des éléments,

 

- ses connaissances et savoir-faire technologiques ont doublé en moins de 50 ans … et l'information circule d'un bout à l'autre du monde à la vitesse de la lumière,

 

- la femelle humaine vient enfin d'acquérir une vraie maîtrise de sa fertilité … et, instruite, peut remplacer un mâle dans tous les métiers, etc …

 

Dans le même temps l'essentiel de nos croyances mythologiques (dont le tabou de la nudité et toutes ses déclinaisons) n'a pas encore vraiment été collectivement actualisé … pour correspondre aux besoins actuels de la survie et du développement de notre société mondialisée … devenant lentement, pas à pas, laïque et démocratique (respectueuse des croyances et pratiques spirituelles de chacun).

 

Quand reconnaîtra t-on que mon corps, en lui-même, n'est ni obscène ni honteux ?

 

Quand le "droit à la nudité" fera t-il officiellement partie des "droits imprescriptibles de l'Homme" ?

 

Quand organisera t-on "la journée mondiale de la nudité" ?

 

Quand les auteurs de comportements pervers ponctuels (une minorité) seront-ils sanctionnés … en lieu et place de leurs victimes potentielles (nous tous) privés en permanence et à titre préventif d'une liberté fondamentale et de la reconnaissance de notre intégrité ?

Analogie d'absurdité : interdire tous les transports individuels … sous prétexte qu'il y aurait parfois des chauffards.

 

L'histoire nous a aussi appris qu'une culture (références communes) ne se décrète pas, elle se négocie … jusqu'à obtention d'un compromis acceptable par la majorité du groupe social qui retrouve ainsi son harmonie (hélas parfois à l'issue de conflits violants).

 

L'histoire nous apprend aussi que la Loi (définissant l'état de droit que les forces de répression tentent de faire respecter) … n'entérine qu'à posteriori un état de faits tolérés et entrés dans les moeurs.

 

 Ma réponse d'aujourd'hui :

 

 Elle est double :

 

1• La croyance "Tabou de la Nudité" élevée progressivement depuis plus de 5000 ans par certaines civilisations au rang de première valeur fondamentale, d'abord comme un comportement social interdit et réprimé, puis comme comme un dogme au niveau spirituel (ce risque de l'enfer éternel, la pire répression dans l'au-delà enfonçait le clou)

 

… n'est qu'un artifice astucieux, un outil de pouvoir consensuel dont des collectifs humains se sont dotés pour que leur "civilisations" survivent et se développent … en disposant d'un puissant moyen de pression sur les individus composant le collectif … ainsi "domestiqués".

 

L'enjeu et le rôle d'un tel tabou vont bien au-delà du simple objectif de réduire les risques de violences sexuelles sur d'autres individus : un simple effet secondaire positif.

 

Pourquoi rendre coupable la nudité … et pas seulement les violences sexuelles ?

C'est tout simple … pour des raisons pratiques de facilité et d'efficacité de contrôle répressif … compte tenu des moyens technologiques de l'époque.

 

Aujourd'hui dans nos villes, pas moyen d'aller acheter son pain à 50 m de chez soi sans avoir été filmé au moins trois fois par une caméra de surveillance : ça change tout !

 

Autrefois (hier à l'échelle de l'Histoire, juste avant le consumérisme actuel), la variété des tenues vestimentaires était très limitée : celle de tous les jours adaptée à la pratique de son métier (et de son statut) et celle de fête. Dans les régions au climat chaud, les esclaves (ancêtres des salariés d'aujourd'hui) vivaient souvent nus, leur statut n'en faisant pas des membres de la société.

 

Aujourd'hui, le besoin instinctif de séduire (cerveau reptilien) sait parfaitement contourner le tabou de la nudité … grâce à la "liberté de parures vestimentaires" du corps, des plus "smart" (séduction par la revendication d'un statut élitiste "bien vu") … aux plus "sexy" (mise en valeur des attributs sexuels du corps à demi cachés et ainsi révélés, affichés et sublimés selon les "canons inaccessibles de la beauté" du moment … promettant un "plaisir interdit").

 

Ainsi, au lieu de "normaliser" les tenues et comportements vers un "socialement correct", avec le consumérisme d'aujourd'hui qui renforce un individualisme reconquis, la raison-d'être d'origine du "Tabou de la Nudité" est non seulement bafouée … mais en pratique totalement remplacée par son contraire de façon consensuelle et majoritaire : un énorme détournement de finalité.

 

Oui, dans notre civilisation occidentale démocratique, laïque, individualiste et consumériste, le "Tabou de la Nudité" se révèle avoir des effets secondaires largement négatifs (qui remplissent les cabinets de psy, les commerces et les hôpitaux, … les tribunaux et les prisons, mais autrement, … et de moins en moins les confessionnaux et les églises).

 

NB : Tout en écrivant ce qui précède, je ne peux oublier qu'aujourd'hui, dans d'autres parties du Monde en conflit déclaré et ouvert de civilisations avec la nôtre qui se mondialise, 2 femmes sont condamnées à recevoir 20 coups de fouet pour avoir été vues en pantalon et non voilées (hier jeudi 22 octobre au Soudan), d'autres sont lapidées jusqu'à ce que mort s'en suive (Iran 2005), idem pour une fillette de 13 ans violée et qui avait porté plainte (Somalie 2008), etc …

 

Réponse 1 : Notre civilisation occidentale démocratique et consumériste a déjà su trouver son "nouveau tabou fédérateur" : le "Ticket modérateur de l'argent"

 En partant à la conquête du monde, elle s'est confrontée à d'autres civilisations … et surtout avec celles de l'Extrême-Orient dont les croyances spirituelles fondamentales étaient très différentes … mais pas réellement sources de conflits majeurs … à condition de proclamer la séparation de l'Eglise et de l'Etat.

 

En associant le "Ticket modérateur de l'argent" (aujourd'hui, la "taxe carbonne") au plus grand enjeu actuel pour la planète, donc pour la survie de l'espèce humaine, la future civilisation mondiale est en train de naître de ces compromis en cours de négociation.

 

Bien sûr, il y a les "laissés pour compte" qui ne sont pas encore entrés dans l'Ere du Consumérisme … et qu'il faut porter sur ce plan à bout de bras jusqu'à ce qu'ils deviennent économiquement autonome.

 

Il y a aussi tous les "fiefs du patriarcat" à l'ancienne mode, les théocraties pures et dures, ces grandes minorités qui réussissent à s'opposer encore et durablement par la violence et le terrorisme aux changements inéluctables qui s'imposeront à eux. Paradoxalement, ils peuvent se procurer leurs armes … grâce aux faiblesses du système économique de leur ennemi : la drogue et la rareté de ressources minières dont leurs territoires se trouvent riches (des grottes d' Ali-Baba).

 

2• Réponse 2 : Rendre progressivement "banale" la nudité dans notre culture

 Quoique déjà obsolète et remplacé dans sa vocation première, "domestiquer" les individus, le "Tabou de la nudité" est toujours inculqué dès la prime enfance par le "dressage-éducation" de la majorité des parents et les autres éducateurs laïques et religieux.

 

Après le MLF (Mouvement de Libération de la Femme) et tous ses heureux résultats égalitaires en cours de mise en pratique, … les mâles bousculés dans leurs "statut social" n'ont pas encore lancé leur "MLH" (Mouvement de Libération de l'Homme) leur permettant, non plus de subir, mais de réactualiser leur place et comportements adaptés dans la société qui a si vite évoluée : de nouvelles

 négociations pour une nouvelle culture globale du couple vis à vis de ses obligations parentales … et indirectement sur le besoin de le stabiliser au moins jusqu'à autonomie des enfants. Faudrait-il inventer à cet effet une nouvelle cellule sociale remplaçant la famille parentale ?

 

Déjà, en l'absence d'un "MLH", qui voudrait entendre parler d'un "MLE" (Mouvement de Libération de l'Enfant) … visant notamment à le libérer en lui épargnant la "tare" de toutes les croyances devenues inutiles et obsolètes transmises par les adultes ?

 

A y regarder de plus près, la désintoxication minimum nécessaire se fait aujourd'hui "à la sauvage" dans la rue … avec tous les dégâts qui en résultent. Elle se fait aussi sous l'effet du consumérisme qui ne pouvait durablement ignorer le marché juteux des jeunes.

 

Pourquoi ne pas inventer un "Tabou de la non-reconnaissance d'autrui comme un alter-ego" ?

 

Peu importe le nom qui serait donné à ce tabou … qui, en pratique, interdirait et sanctionnerait toute intention et tout comportement visant à considérer l'autre comme un "objet" que l'on pourrait unilatéralement s'approprier pour l'utiliser à son unique profit et/ou le casser (ne serait-ce qu'en l'ignorant).

 

Est-ce par hasard que le mot "RESPECT" a une place si importante dans les valeurs du Naturisme ? (respect des autres dans leur différence, respect de la nature et de l'intégrité de ses écosystèmes)

 

 Ceci étant dit, la "liberté de parures vestimentaires" actuelle évoquée plus haut et à travers laquelle chaque individu tente de se présenter avec sa différence et de se valoriser comme "séduisant" … devrait progressivement inclure parmi toutes les autres parures possibles et infiniment variées … celle du plus simple appareil, une originalité parmi d'autres à peine remarquée tant ce serait devenu progressivement banal dans l'environnement concerné à la condition que le comportement associé ne montre rien de pervers.

 

N'est-ce pas déjà la réalité dans les lieux reconnus de plein droit comme "naturistes" ? 

 

Le nouveau Code Pénal entré en vigueur le 1er mars 1994 déclare :

« L'exhibition sexuelle imposée à la vue d'autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d'un an d'emprisonnement et de 15000 € d'amende. » 

 

Si la sanction volontairement aggravée peut sembler forte, la formulation du délit est devenue beaucoup plus restrictive :

exhibition sexuelle : "simplement omettre de cacher" … ou "forcer délibérément à voir" avec une intention perverse, imposer à la vue d'autrui ? En pratique, l'interprétation est laissée à l'appréciation du juge. Par ailleurs, l'infraction doit avoir été constatée en flagrant délit par un agent verbalisateur.

exhibition sexuelle : "simplement avoir laissé voir ses organes génitaux" … ou "s'être livré publiquement à une activité génitale choquante ou dégradante pour des tiers forcés de regarder" ? Là encore le degré de gravité du délit est laissée à l'appréciation du Juge. Personnellement, même en milieu naturiste, je considère qu'il y a délit grave dans le dernier cas.

 

En fait, depuis que la société a reconnu la légitimité du phénomène naturiste grandissant, les textes de Loi restent volontairement ambigües  et ne visent qu'à limiter tout risque de dérapage incontrôlé … tout en permettant une lente évolution des usages.

 

Une législation qui ferait bien la différence entre nudité et "sexualité perverse imposée" reste donc à faire. Aujourd'hui, c'est le phénomène de la "pédophilie" qui est à l'ordre du jour vis à vis de l'opinion publique. Peut-être que les débats autour de sujet permettra des prises de consciences et des avancées culturelles en ce domaine.

 

Tempête de cerveau :

Et pourquoi pas instaurer par la Loi :

 

- un permis de naturisme obtenu à l'issue d'un stage théorique et pratique ? 

 

- des domaines purement "textile", des domaines purement "naturiste" … le reste du domaine public étant neutre et ouvert à toutes les tenues (mais pas tous les comportements) ?

Les maires pourraient par décret fixer et faire évoluer les limites de ces domaines.

 

- une distance minimale à partir de laquelle un tiers ne pourra plus vous accuser d'exhibition sexuelle … sans pouvoir être lui-même accusé d'esprit pervers. 

 

Hi Hi … à vous de poursuivre en proposant d'autres idées farfelues ou non …

 

… telles que :

- le cahier des charges réglementaire d'une nouvelle parure, le « NUDKINI » qui vous mettrait à l'abri de tout risque de délit tout en étant compatible avec la pratique courante du naturisme et ramenant la distance minimale ci-dessus à zéro. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A suivre (premier jet inachevé) 

 

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Commentaires
  • xenophanepar xenophane il y a 5181 Jours
    1 point    
    bonjour

    bien; voici une tentative d'explication traitée avec humour et compétence.
    À quand le 2ème jet....
    cordialement
    xénophane
    Répondre à ce commentaire

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jpatabou
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Témoignages d'un philosophe "libre penseur" en quête d'une liberté bien comprise à travers le naturisme et la création artistique : des idées mises en pratique et illustrées par des images à prétention artistique.
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